On ne peut lire ou méditer
les Écrits de François d’Assise
sans être frappé
par la poésie,
la sobriété
et la justesse
de sa parole au sujet de Marie.
La poésie fait éclore,
au rythme de sa litanie,
les fleurs d’un feu d’artifice...
La sobriété se déploie,
paradoxalement,
dans l’obsédante répétition
de l’incontournable credo :
"Il a pris chair de la Vierge Marie"...
La justesse libère,
en tous ceux
"qui écoutent la Parole de Dieu
et la mettent en pratique",
les harmoniques
de l’unique Annonce faite à Marie...
Avant-propos de l’article publié par F. André Ménard en mai 1988
dans le N° 138 de la revue franciscaine
ÉVANGILE AUJOURD’HUI